Lundi 14h - 19h

Mardi - Samedi : 10h - 12h30, 14h - 19h

 

 

 

 

Elizabeth P.

Conseillé par
12 janvier 2020

Dans un futur indéterminé, une femme psychologue est en fuite dans une forêt avec d’autres congénères.
Elle écrit dans un carnet, sa vie, ses souvenirs, sa moitié…..
On est dans un monde où les robots sont rois, où le clonage est une institution.
C’est un monde impitoyable où règne l’intelligence artificielle, où la manipulation génétique est monnaie courante.
Même si je ne suis pas fan de science-fiction, j’ai beaucoup aimé ce livre.
Particulièrement le style, le ton, l’humour, la manière familière d’écrire dans le carnet.
Comme ça, de prime abord, je l’aurais qualifié de court roman de science-fiction, ou d’anticipation.
Mais après un rapide coup d’œil sur les autres commentaires, je vois qu’on dit maintenant « dystopie ». Wouah ! ça fait genre !
Pratiquement tous les lecteurs utilisent ce terme. Et dire que je ne le connaissais pas. Quelle inculte je fais ! Mais c’est sûr, je le replacerai, rien que pour faire ma connaisseuse.
Et même le correcteur d’orthographe, il ne connait pas. Ouf, il n’y a pas que moi.

Conseillé par
12 janvier 2020

Dans un futur indéterminé, une femme psychologue est en fuite dans une forêt avec d’autres congénères.
Elle écrit dans un carnet, sa vie, ses souvenirs, sa moitié…..
On est dans un monde où les robots sont rois, où le clonage est une institution.
C’est un monde impitoyable où règne l’intelligence artificielle, où la manipulation génétique est monnaie courante.
Même si je ne suis pas fan de science-fiction, j’ai beaucoup aimé ce livre.
Particulièrement le style, le ton, l’humour, la manière familière d’écrire dans le carnet.
Comme ça, de prime abord, je l’aurais qualifié de court roman de science-fiction, ou d’anticipation.
Mais après un rapide coup d’œil sur les autres commentaires, je vois qu’on dit maintenant « dystopie ». Wouah ! ça fait genre !
Pratiquement tous les lecteurs utilisent ce terme. Et dire que je ne le connaissais pas. Quelle inculte je fais ! Mais c’est sûr, je le replacerai, rien que pour faire ma connaisseuse.
Et même le correcteur d’orthographe, il ne connait pas. Ouf, il n’y a pas que moi.

Sabine Wespieser Éditeur

21,00
Conseillé par
6 janvier 2020

A travers l’histoire imaginée de Maryam, c’est le sort de cette centaine de lycéennes nigérianes qui, en 2014, ont été enlevé par Boko Haram pour servir d’esclaves sexuelles aux djihadistes.
Je sors de cette histoire bouleversée, écœurée et en même temps mitigée.
Si le fait était connu, là, on est en pleine immersion dans l’horreur de la réalité.
C’est dur, très dur à lire.
Imaginer que ça remonte à 5 ou 6 ans à peine.
Non qu’il faille ignorer les atrocités du monde, je ne sais pas s’il est bien nécessaire de s’y replonger dans un roman.
Pour l’écrire, Edna O’Brien a fait un très sérieux travail de recherche, s’est rendue sur place, a rencontré des jeunes filles rescapées.
Cependant quelque chose m’a dérangée dans son écriture.
Détachée, pas toujours claire, comme distante.
Particulièrement dans la première partie concernant le camp de djihadistes.
Beaucoup de flou aussi quand Maryam s’évade et traverse la forêt.
C’est un livre difficile, que je ne relirai pas, et que je ne conseillerai pas à tout le monde, et certainement pas aux personnes trop sensibles.

La vengeance d'une femme est douce et impitoyable

Actes Sud

23,80
Conseillé par
25 décembre 2019

Ambition démesurée pour Frank
Vengeance implacable pour Faye
Attention ! Couple explosif.
Une fois l’amour consumé, tous les coups bas sont permis.
Dans ce milieu factice, plus qu’opulent, les millions coulent à flot mais le bonheur n’est pas là pour autant.
C’est une histoire à rebondissements où une page entraîne l’autre.
Camilla Läckberg, comme à son habitude entretient le suspens jusqu’au bout.
Les indices sont distillés par petites touches.
Elle a su rendre certains personnages sympathiques, d’autres moins.
Globalement, c’est un roman plaisant, distrayant, sans être extraordinaire.

Conseillé par
21 décembre 2019

Et bien me voilà bien déçue.
Non par le contenu, si c’était le premier livre de Gaston-Paul Effa que je lisais, je l’aurais trouvé très bien.
Seulement voilà, j’ai lu « Le dieu perdu dans les herbes » où son père rencontrait Tala, la fétichiste pygmée, et là c’est la même histoire, sauf que c’est lui qui rencontre Tala.
Un grand air de déjà vu, de déjà lu……