- EAN13
- 9782226225450
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 10/2011
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 17,90
Comme le dit Katherine Mansfield, Francis Carco est « l'écrivain des bas-fonds
». « Les rues obscures, les bars retentissants des appels des sirènes, les
navires en partance et les feux dans la nuit » hantent son univers. Dans le
Paris des mauvais garçons et des filles de joie, il partage la vie de bohême
d'Apollinaire, Max Jacob, Modigliani ou Pierre Mac Orlan.
C'est tout le pittoresque de ce monde interlope, dont Renoir, Duvivier et
Carné se sont emparés au cinéma, que l'on retrouve dans ce premier roman. Il
nous introduit dans le milieu des souteneurs et des prostituées de Montmartre,
sur les traces de Jésus-la-Caille, proxénète homosexuel qui va connaître, pour
la première fois, l'amour d'une femme. Le ton des dialogues, la peinture des
personnages et l'atmosphère poisseuse en font un grand classique.
« Relu Jésus-la-Caille qui m'a paru excellent d'un bout à l'autre. On y
chercherait en vain une faute, une vulgarité. Ce sujet extraordinairement
scabreux est traité sans fausse pudeur. »
Julien Green, Journal.
». « Les rues obscures, les bars retentissants des appels des sirènes, les
navires en partance et les feux dans la nuit » hantent son univers. Dans le
Paris des mauvais garçons et des filles de joie, il partage la vie de bohême
d'Apollinaire, Max Jacob, Modigliani ou Pierre Mac Orlan.
C'est tout le pittoresque de ce monde interlope, dont Renoir, Duvivier et
Carné se sont emparés au cinéma, que l'on retrouve dans ce premier roman. Il
nous introduit dans le milieu des souteneurs et des prostituées de Montmartre,
sur les traces de Jésus-la-Caille, proxénète homosexuel qui va connaître, pour
la première fois, l'amour d'une femme. Le ton des dialogues, la peinture des
personnages et l'atmosphère poisseuse en font un grand classique.
« Relu Jésus-la-Caille qui m'a paru excellent d'un bout à l'autre. On y
chercherait en vain une faute, une vulgarité. Ce sujet extraordinairement
scabreux est traité sans fausse pudeur. »
Julien Green, Journal.
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