Cette lecture est douce et pétillante comme un bonbon acidulé. On y trouve tout : de l'aventure, de l'humour, de l'émotion. Il y est question d'écologie et de harcèlement scolaire, mais aussi du lien formidable qui peut exister au sein d'une fratrie.

Nouveau thriller psychologique de Sarah Epstein (qui est en fait son premier roman mais le deuxième publié par les éditions Bayard après le très chouette "Deep Water") qui donne une fois de plus des frissons et la chair de poule !
Une intrigue tortueuse, une atmosphère effrayante et dérangeante, Stalker est impossible à lâcher et constitue une menace à votre tranquillité d'esprit.

Entre la guerre en Ukraine et le Covid, on vit ce livre à l’instant présent. On s’émeut devant les témoignages, on s’émerveille devant le courage qu’a ce garçon de partir avec ses deux pieds pour se découvrir. Ce voyage est une école de la vie en accélérée. Mais aussi un épanouissement doux. Petite pépite à offrir à tous les jeunes qui finissent leur étude, passent leur bac. A tous ceux qui ne savent pas quoi faire après, qui ne savent pas qui ils sont maintenant, qui rêvent d’ailleurs sans savoir où. L’auteur parle cause humanitaire, empreinte carbone, réseaux sociaux, amitiés toxiques et réelles rencontres.

Inspiré de faits réels, ce roman nous emporte, nous émeut et nous passionne.
Un véritable cri d'alerte sur la manière dont l'humanité traite la terre sur laquelle elle vit.

Une cinquantaine d'années avant la chute de Troie, Athéna tente de faire libérer Pallas, son amie de toujours, que son père Zeus a précipité hors de l'Olympe, sur terre, sous la forme d'une statuette : le Palladion... Ouhhhhh...
Marine Carteron nous propose une vision des prémices de la guerre de Troie à travers le regard de déesses mais aussi de mortelles.
Toujours aussi bien écrit (réf Les Autodafeurs, Génération K , Dix ..) et bien mené, on est emporté par ce récit sans avoir besoin d'être érudit en mythologie.