- EAN13
- 9782848764856
- ISBN
- 978-2-84876-485-6
- Éditeur
- Philippe Rey
- Date de publication
- 08/10/2015
- Collection
- Littérature étrangère
- Nombre de pages
- 304
- Dimensions
- 22 x 14,6 x 2 cm
- Poids
- 356 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Angel, la cinquantaine, est gardien de la paix. Entouré de son équipe – Bro l’incurable solitaire buveur de vodka, H qui parvient bon gré mal gré à avoir une vie de famille, la jolie Joana pas encore usée par le métier –, il se remet lentement du décès de sa femme. Un soir, lors d’une opération, il découvre le corps d’un jeune fille dans les caves d’une cité : elle a été frappée, torturée. Obsédé par cette image, lorsqu’il apprend que le décès est contre toute attente attribué à une overdose, il décide de mener l’enquête en souterrain. Aidé discrètement de certains collègues, il lève peu à peu le voile sur une affaire aux multiples ramifications.
Bien loin des stéréotypes, l’auteur mène son intrigue avec talent et livre par bribes les pièces du puzzle jusqu’au dénouement final. Flics désabusés, ripoux aux méthodes de voyous, petites frappes qui jouent les maquereaux, notables locaux intouchables, les rouages sont nombreux et remontent très haut, trop haut.
« Je réfléchis un moment, revoyant le corps de cette fille étendu sous ce morceau de plastique dégueulasse. Ce corps martyrisé, méconnaissable. À en croire le pote de Baleinot, elle avait subi l’enfer. Je frissonne. Je pense à ma propre fille. À mon fils. »
Bien loin des stéréotypes, l’auteur mène son intrigue avec talent et livre par bribes les pièces du puzzle jusqu’au dénouement final. Flics désabusés, ripoux aux méthodes de voyous, petites frappes qui jouent les maquereaux, notables locaux intouchables, les rouages sont nombreux et remontent très haut, trop haut.
« Je réfléchis un moment, revoyant le corps de cette fille étendu sous ce morceau de plastique dégueulasse. Ce corps martyrisé, méconnaissable. À en croire le pote de Baleinot, elle avait subi l’enfer. Je frissonne. Je pense à ma propre fille. À mon fils. »
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