- EAN13
- 9782752906298
- ISBN
- 978-2-7529-0629-8
- Éditeur
- Libretto
- Date de publication
- 07/06/2011
- Collection
- Littérature étrangère (170)
- Nombre de pages
- 576
- Dimensions
- 18 x 12,2 x 3,3 cm
- Poids
- 420 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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La Seconde Guerre mondiale vit près de trois mille navires anglais envoyés par le fond. Embarqué sur la Rose des Vents, joli nom pour y vivre l'enfer, Nicholas Monsarrat relate dans La Mer cruelle la longue et véridique histoire d'un océan, de deux navires et d'environ cent cinquante hommes pris dans la plus furieuse des batailles qui fut jamais livrée en mer. Il le fait sans emphase mais sans rien édulcorer, décrit l'insoutenable souffrance des équipages trempés par l'eau salée et révèle un univers teinté d'humanité et d'horreur. Rejet, fascination et dégoût sont les maîtres mots pour dépeindre ces flots sans âme, traîtres aux hommes et pourvoyeurs d'orphelins...
« Le roman le plus juste sur la Seconde Guerre mondiale. » Philippe Lançon. Charlie Hebdo.
Né à Liverpool en 1910, Nicholas Monsarrat, qui voulait devenir avocat, s'installe à Londres avant de se consacrer à la littérature et de rédiger ses premières nouvelles. Bien que pacifiste, il entre à vingt-neuf ans dans la Royal Naval Volunteer Reserve durant la Seconde Guerre mondiale et il écrit, la paix revenue, quelques romans inspirés de son expérience, comme Le bateau qui mourait de honte et Pirates en dentelle. Nicholas Monsarrat reste surtout connu pour La Mer cruelle, publié en 1951, dont le succès fut retentissant. Il s'est éteint à Londres en 1979.
« Le roman le plus juste sur la Seconde Guerre mondiale. » Philippe Lançon. Charlie Hebdo.
Né à Liverpool en 1910, Nicholas Monsarrat, qui voulait devenir avocat, s'installe à Londres avant de se consacrer à la littérature et de rédiger ses premières nouvelles. Bien que pacifiste, il entre à vingt-neuf ans dans la Royal Naval Volunteer Reserve durant la Seconde Guerre mondiale et il écrit, la paix revenue, quelques romans inspirés de son expérience, comme Le bateau qui mourait de honte et Pirates en dentelle. Nicholas Monsarrat reste surtout connu pour La Mer cruelle, publié en 1951, dont le succès fut retentissant. Il s'est éteint à Londres en 1979.
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